Missak et Mélinée Manouchian


Orphelin.es du génocide arménien (1915-1923), immigré.es en France, militant.es communistes et des FTP-MOI, il et elle entrent au Panthéon le 21 février 2024, 80 ans après l'assassinat de Missak et de ses camarades le 21 février 1944.


M.O.I, la main-d'œuvre immigrée en lutte


Une série documentaire de Marie Chartron, réalisée par Franck Lilin.


Cette série s’attache à faire revivre quelques-unes de leurs histoires, du pays d’origine qu’ils ont dû quitter jusqu’à la France de l’immédiat après-guerre. Il y a tous ceux qu’on n’a jamais interrogés, et ceux bien moins nombreux dont on peut encore entendre les voix archivées. Pour n’en citer que quelques-uns, Dora Schaul, Allemande, Irma Mico et Cristina Boïco, Roumaines, Julia Pirotte et Paulette Sarcey, Polonaise et Française d’origine polonaise, Arsène Tchakarian, Henri Karayan et Hrispsime Vézirian, Arméniens… Il y a ceux qui sont repartis dans leur pays d’origine après-guerre, ceux qui ont émigré et ceux qui ont décidé de rester. Il y a la multiplicité de leurs origines et appartenances - culturelles, nationales, internationalistes - mais aussi ces constantes qu’on peut lire dans leurs parcours pendant trois décennies. Le point d’orgue de cette histoire est leur rôle au sein de la Résistance, mais qui étaient ces étrangers de la M.O.I ?




 

Des étrangers dans la Résistance en France


Du 02 février au 20 octobre 2024, une exposition au Mémorial de la Shoah - 17 rue Geoffrroy-Asnier 75004 Paris


Avec Missak Manouchian, accompagné de Mélinée, ce sont tous les résistants étrangers qui entreront au Panthéon le 21 février 2024. Qu’ils soient réfugiés politiques ou immigrés économiques, naturalisés, voire nés en France, ces hommes et ces femmes, dont de nombreux Juifs, ont combattu en France métropolitaine mais aussi dans les colonies et à l’étranger et ont joué un rôle crucial dans la Résistance contre l’Occupant et le régime de Vichy.


Pour accompagner cette Panthéonisation d’une dimension résolument universaliste, l’exposition centre son propos sur les FTP-MOI parisiens tout en l’élargissant aux diverses modalités de l’engagement résistant des étrangers. De diverses mouvances politiques, au sein de la résistance intérieure comme de la France libre, c’est autour de la France des droits de l’homme, de la France des Lumières que se sont combinées ces identités plurielles.



Deux conférences :


Des archives inédites pour raconter Missak et Mélinée Manouchian

Le 10 mars 2024 à 14h00 : la séance est complète, mais sera retransmise sur Youtub du Mémorial de la Shoah

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Morts pour la France ! Elle s’appelait Olga, ils s’appelaient Rino et Marcel

Le 10 mars 2024 à 16h30 : séance gratuite, mais inscription obligatoire 

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Anatomie de l'Affiche rouge


Annette Wieviorka


Le 21 février 2024 Missak Manouchian entre au Panthéon, avec son épouse, Mélinée. L’histoire des Arméniens mérite d'être connue et reconnue. Missak, le militant, le résistant est une figure digne d'être honorée. Mais je suis saisie par un double sentiment, celui d'une injustice à l'égard des 21 autres résistants étrangers fusillés en même temps que lui par les nazis et d'Olga Bancic guillotinée ; celui d’un malaise devant un récit historique qui distord les faits pour construire une légende. Or, à l'époque des « vérités alternatives », si on souhaite donner une leçon d'histoire, la moindre des précautions est de l’établir.




 

Manouchian - Les fusillés de l'affiche rouge


BD - Hiroyuki Ooshima - Jean-David Morvan - Tcherkezian


Torturé puis fusillé le 21 février 1944 avec 22 autres membres de son groupe Francs-Tireurs et Partisans - Main-d'oeuvre immigrée (FTP-MOI), le poète, ouvrier et militant communiste Missak Manouchian va devenir un symbole de la Résistance intérieure française. Un martyr que le peuple opprimé n'oubliera jamais.
Cette exécution, très médiatisée par les Allemands à travers la fameuse Affiche rouge, servira de propagande nazie pour déstabiliser et décrédibiliser la Résistance face au peuple français.
Un destin hors du commun qui prend une nouvelle ampleur en février 2024 avec l'entrée de Missak et Mélinée, son épouse, au Panthéon.



Résitants


Un hors-série du journal LE MONDE - février 2024


Avec Missak Manouchian, ce sont tous les condamnés à mort du procès, les « 23 » de l’Affiche rouge et tous les résistants étrangers qui entrent au Panthéon. Qu’ils soient Arméniens, Italiens, Hongrois, Espagnols, Polonais, et pour beaucoup juifs, ils se sont tous battus, ont été torturés, déportés ou assassinés pour libérer la France de l’occupant nazi et du régime de Pétain. Entretiens, infographies, reportages, portraits, témoignages, en hommage aux combattants étrangers morts pour la France et la liberté.




 

L'Affiche rouge


Benoît Rayski [Nouvelle édition, revue et augmentée]

 

Ils étaient jeunes, à peine sortis de l’adolescence, beaux, courageux bien sûr, et juifs pour la plupart. Ils étaient vingt-trois et vingt-deux d’entre eux furent fusillés par les nazis le 21 février 1944 au mont Valérien, tandis que la seule femme du groupe, Olga Bancic, sera décapitée quelques mois plus tard à Stuttgart. L’affiche aux couleurs de sang, placardée sur les murs de France par la propagande allemande, montrait leurs visages torturés et les stigmatisait comme une repoussante «armée du crime». De leur combat héroïque, Aragon fit un poème chanté par Léo Ferré. Un mythe était né.
Ce récit superbe évoque le monde d’où ils venaient : le 11e arrondissement de Paris, quartier populaire juif et rouge, les bals du 14-Juillet, les jeunesses communistes, le yiddish qu’ils apprenaient après l’école. Et surtout la France qu’ils aimaient tant. Immigrés certes, étrangers évidemment, mais français, très français, comme plus personne n’ose l’être aujourd’hui.
En veilleur inlassable doublé d’un essayiste brillant, Benoît Rayski, dont le père dirigeait la section politique des FTP-MOI, l’organisation militaire du Parti communiste pour les étrangers, ressuscite, le temps d’un livre, ce monde englouti, bouleversant de chaleur et de générosité. Un voyage qui permet de capter un peu de la lumière qui illuminait les vingt-trois de l’Affiche rouge.




Missak et Mélinée - Une histoire de l'Affiche rouge


Elise Fontenaille [à partir de 12 ans]


A mi-chemin entre fiction et Histoire, un roman humaniste autour des figures de Missak et Mélinée Manouchian qui entreront au Panthéon le 21 février 2024. Ils étaient vingt-trois. Arméniens, polonais, italiens, espagnols, hongrois,
français, roumains. Ils étaient communistes, résistants. La plupart étaient juifs ou immigrés. On a parlé d'eux comme des criminels et des terroristes.
Aujourd'hui, pour avoir résisté aux nazis, s'être battus jusqu'au bout pour la liberté, ce sont des héros. Leur chef s'appelait Missak Manouchian, il était poète. Avec Mélinée ils résistaient ensemble et s'aimaient passionnément. En
février 2024, ils entreront au Panthéon.



Missak


Didier Daeninckx (Nouvelle édition augmentée d'une préface inédite de l'auteur)



21 février 1944. Le poète Missak Manouchian, communiste arménien à la tête d’un réseau de résistants, est dénoncé et arrêté par les Allemands. À quelques heures de son exécution, il écrit une lettre bouleversante à sa femme Mélinée.
Janvier 1955. Louis Dragère, journaliste à L’Humanité, est missionné par le parti communiste pour retracer le parcours de ce héros de la Résistance à Paris. Mais quand il exhume l’ultime lettre de Missak, il constate que des passages ont été censurés. Dragère comble les blancs au fil d’une enquête passionnante où se croisent Louis Aragon, Charles Aznavour dont les parents hébergèrent Mélinée, l’ancien chef des Francs-tireurs et partisans Charles Tillon, ou encore le peintre Krikor Bedikian.



Missak et Mélinée Manouchian - Un couple en Résitance

Gérard Streiff, Didier Daeninckx (préface de), Jean-Pierre Sakoun (postface de)

A l’occasion de la panthéonisation, le 21 février 2024, de Missak et Mélinée Manouchian, la première biographie croisée de ce couple de héros, symbole d'une population immigrée engagée dans la Résistance. Lui, le poète résistant fusillé au Mont Valérien à 38 ans, elle qui témoignera sa vie durant de la vie et du sacrifice du chef du groupe de l’Affiche rouge.

Lundi 21 février 1944, prison de Fresnes. Missak écrit à Mélinée, sa « petite orpheline bien-aimée » : « Nous allons être fusillés cet après-midi à 15 heures… Au moment de mourir, je proclame que je n’ai aucune haine contre le peuple allemand. »
Trahi, traqué, arrêté, torturé, jugé par un tribunal militaire allemand avec ses camarades, Missak Manouchian est apparu en photo au milieu d’une affiche rouge sur les murs des villes de France pour attiser la haine contre les « terroristes étrangers, les juifs, les bolchéviques ». Affiche très vite devenue le symbole du courage et du sacrifice.
Mélinée, elle, a échappé à l’arrestation avec le secours de la famille Aznavourian. Pour, très vite, reprendre une activité dans la Résistance. Et, après-guerre, entretenir la mémoire des héros des FTP-MOI.
Mais les connaît-on si bien, ces apatrides portés par le rêve communiste, tous deux panthéonisés le 21 février 2024 ? Missak, le poète, l’idéaliste, le « chef de bande ». Mélinée, la compagne, l’organisatrice, la militante. Gérard Streiff entremêle leurs destins dans ce récit : le génocide, l’exil, la passion de la France, l’engagement, la clandestinité, la guérilla, l’exécution au Mont-Valérien.
Leur amour resté inachevé. Et leur légende qui n’a cessé de croître.




Manouchian


Astrig Atamian, Claire Mouradian, Denis Peschanski



Missak et Mélinée Manouchian, deux orphelins du génocide des Arméniens engagés dans la Résistance française.

Quatre-vingts ans après son exécution et celle de ses camarades de l’Affiche rouge, Missak Manouchian fait son entrée au Panthéon, accompagné de sa femme Mélinée. Cet ouvrage retrace l’itinéraire de ce couple de résistants communistes, tous deux orphelins survivants du génocide des Arméniens de 1915.
Missak et Mélinée se sont rencontrés dans le Paris du Front populaire et c’est ensemble qu’ils s’engagent au sein d’un groupe armé très actif de la Résistance, les FTP-MOI de la région parisienne. Repérés, filés, arrêtés et torturés par les policiers français au service de l’occupant allemand, 23 d’entre eux sont condamnés à mort lors du procès de l’Affiche rouge : 22 seront fusillés le 21 février 1944 et la vingt-troisième, Golda Bancic, sera guillotinée en Allemagne quelques semaines plus tard.
La magnifique dernière lettre de Missak à Mélinée, rédigée quelques heures avant son exécution, inspire un vibrant poème à Aragon, puis une chanson à Léo Ferré, inscrivant Manouchian dans la mémoire collective. L’odieuse Affiche rouge, placardée dans toutes les grandes villes de France en 1944 et dénonçant « l’armée du crime », est ainsi devenue un emblème de la Résistance. On a voulu faire de ces combattants des criminels, on en fera des héros.
En reconstituant le parcours des Manouchian, les trois historiens Astrig Atamian, Claire Mouradian et Denis Peschanski ont mené une enquête dans des archives inexplorées jusque-là. De nombreux documents inédits – photographies, correspondances, archives familiales, policières et administratives... – jalonnent ce passionnant récit.



Olga Bancic – Une jeune mère dans la Résistance


Marie-Florence Ehret (à partir de 11/12 ans)


Olga est arrivée à Paris au Printemps 1938 avec Pascu son mari, pour étudier en Faculté de Lettres. Leur vie se poursuit agréablement et une petite fille Dolorès arrive dans le foyer.
Mais cette vie bascule lorsque la France est envahie par les Allemands. La situation est difficile, les arrestations, les dénonciations, les privations, le port de l’étoile jaune…Un jour Pascu est arrêté et parvient à s’enfuir. Néanmoins, la famille n’est plus en sécurité et Olga décide avec Pascu qu’il faut se séparer et protéger leur fille Dolorès qui sera confiée à une famille d’accueil.
Puis, Olga rejoint le groupe Manoukian, elle participe à des actions militantes, transporte des armes…. Arrêtée en 1943, elle est emprisonnée, torturée ainsi que vingt-deux camarades. Ces derniers seront fusillés au Mont Valérien mais Olga, à son grand regret, n’est pas exécutée avec ses camardes de lutte, les femmes ne sont pas passées par les armes.
Elle sera transférée en Allemagne pour être décapitée et écrira avant de mourir une lettre émouvante à sa petite fille, lui disant tout son amour, son combat pour la liberté, le souhait d’un monde meilleur pour elle et l’espoir que son combat n’ait pas été vain.

Le récit poignant et bouleversant de l’engagement et du combat d’une jeune mère pour la liberté. Olga fait preuve d’un immense courage sacrifiant sa vie d’épouse et de mère.



Manouchian - Témoignage suivi de poèmes, lettres et documents inédits

Mélinée Manouchian

1944. Dans l’après-midi du 21 février, vingt-deux membres d’un mouvement de résistance communiste, les Francs-tireurs et partisans - Main-d’œuvre immigrée (FTP‑MOI), sont fusillés au Mont-Valérien. Le procès de ceux que l’histoire retiendra comme étant le « Groupe Manouchian » avait suscité l’acharnement de la presse collaborationniste. Pour cause : vingt d’entre eux étaient des étrangers (arméniens, polonais, italiens, espagnols, hongrois, roumains…), parmi lesquels onze juifs.​ Dans les jours qui suivirent leur exécution, une affiche de propagande SS était placardée sur les murs de nombreuses villes de France, montrant les visages de cette « armée du crime ». Ce sera « l’Affiche rouge » qui, ironie de l’histoire, érigera ces hommes en héros du combat contre l’occupant. Entre 1941 et 1943, le groupe conduit par Missak Manouchian s’était distingué par des actions de résistance, depuis l’assassinat de hauts fonctionnaires nazis jusqu’au sabotage de lignes de chemin de fer et d’installations militaires allemandes. Le témoignage de la compagne de lutte de Missak, Mélinée Manouchian, est irremplaçable. Il est suivi ici de documents, certains inédits, qui éclairent d’un jour nouveau la personnalité de cette grande figure de la Résistance, également poète et passionné d’art et de musique.



L'Affaire Manouchian - Vie et mort d'un héros communiste


Philippe Robrieux


C'étaient des résistants communistes, de jeunes combattants clandestins d'origine étrangère, juifs pour la plupart. A leur tête, l'Arménien Missak Manouchian.

A l'automne de 1943, leur réseau est décapité. Arrêtés, beaucoup sont fusillés. Avant de mourir, Manouchian accuse " celui qui nous a trahis pour racheter sa peau..., ceux qui nous ont vendus. "
Accusation longtemps passée sous silence par le P.C.F. qui, quarante ans plus tard, s'est efforcé de faire censurer à la télévision le film de Mosco, Des terroristes à la retraite, consacré aux témoignages des survivants, parmi lesquels celui de Mélinée Manouchian.
Dans ce livre élaboré à partir d'archives aussi révélatrices qu'inexplorées, Philippe Robrieux raconte la trajectoire de Manouchian, puis ce que la direction du P.C.F. a voulu dissimuler de l'" affaire ", et met en scène les grands " inconnus " de cette histoire: " hommes de marbre ", ombres aux multiples identités, aux doubles ou triples vies, rouages ou leviers de l'appareil secret stalinien. A l'aide de documents d'époque préservés de la destruction, l'auteur de la monumentale Histoire intérieure du Parti communiste fait surgir maints réseaux et personnages ténébreux, les manipulations de militants idéalistes, les accusations et lâchages calculés, les trahisons sur ordre, les montages visant à les dissimuler.
Les faits établis, la tragédie reconstituée, viennent les conclusions, mûrement pensées et étayées: gageons qu'elles ne manqueront pas de rouvrir l'indispensable débat pour la vérité qu'ont jusqu'ici contribué à étouffer les maquilleurs de l'Histoire et leurs complices par complaisance ou omission.



Après nous - Ceslestino Alfonso - Groupe Manouchian


Patrick Fort


« Biographie ? Document ? Roman noir ? Un peu de tout cela dans ce court mais poignant récit consacré à Celestino Alfonso, cet « Espagnol rouge » appartenant à l’« Armée du crime » stigmatisée par la célèbre affiche de même couleur. Patrick Fort a choisi de nous raconter, à la première personne, les derniers mois de l’existence tragique de ce combattant des FTP-MOI, fusillé à vingt-sept ans au Mont-Valérien. S’il a pris le pari risqué de se glisser dans la peau d’un personnage authentique, il le fait avec un grand souci de vérité historique et une recherche scrupuleuse, et, porté par la personnalité d’Alfonso et la grandeur de son combat, il brosse avec talent et émotion, mais sans pathos, le portrait d’un homme qui sut se dresser contre l’injustice et le fascisme en s’oubliant au profit du combat collectif. Après Le Tombeau de Tommy d’Alain Blottière, une nouvelle oeuvre indispensable à qui s’intéresse aux héros de l’Affiche rouge. » Roger Martin




Une note de lecture de

Paquito Schmidt



Les commandos de l'Affiche rouge - La vérité historique sur la première section de l'Armée secrète


Hélène Kosséian et Arsène Tchakarian


Fin 1942. Dans Paris occupé par les Allemands, l'ouvrier poète Missak Manouchian prend la tête d'un groupe de jeunes juifs, hongrois, polonais, roumains, espagnols, italiens, arméniens, tous déterminés à combattre pour libérer la France. Dans la clandestinité et au péril de leur vie, les membres de ce groupe vont devenir des héros. Leurs actions : harceler l'occupant, dérailler les chemins de fer, arrêter les dénonciateurs. Les services spéciaux de la police anticommuniste de l'État vichyste, le B1 et le B2 installés à la préfecture de police de Paris depuis août 1942, sous les ordres du chef de la police de la sécurité, et de deux agents, Roger et Albert, infiltrés dans les organisations immigrées, permettent les arrestations des 23 combattants de la première section parisienne de l'Armée secrète, fin novembre 1943. Le 21 février suivant, les membres du groupe de Manouchian sont condamnés à mort. Les nazis vont faire de cette arrestation une propagande outrageuse et placarder des affiches de ces hommes, transformés en criminels, sur les murs du Tout-Paris et dans la France entière : "l'armée du crime". Le jour même, à 15 heures, au mont Valérien, des salves de balles vont cribler les corps de ces résistants. Arsène Tchakarian, dernier survivant de ces clandestins, continue à faire vivre la mémoire de la Résistance et pose la question sans détours. Il donne le nom du coupable, celui qui a sonné la mort de ces compagnons de l'ombre.




Le testament - Après 45 ans de silence, le chef militaire des FTP-MOI de Paris parle...


Boris Holban  (livre épuisé, mais encore disponible sur Amazon)



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