La Rentrée littéraire été / automne 2025


D’août à octobre, parution de 484 romans, soit 25 de plus que l’an passé

 

  • 344 romans français (dont 73 livres signés par des primo-romanciers)
  • 140 ouvrages étrangers.

 

À titre de comparaison avec la rentrée d'automne 2024 et ses 459 nouveautés, le nombre de parutions de 2025 est en hausse de 5,45 %.

Dans le détail, côté romans français, la hausse est plus marquée avec + 10,6 % (311 romans en 2024, contre 344 en 2025) et une hausse de 7,35 % du nombre de premiers romans (68 primo-romanciers français en 2024 contre 73 en 2024).

A contrario le nombre de romans du domaine étranger connaît une baisse, passant de 148 parutions en 2024 à 140 en 2025 (-5,4 %). 



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de la rentrée

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(en préparation)


Les vidéos des 4 tables rondes du Forum de rentrée littéraire 2025

de LivresHebdo


Le Forum de rentrée littéraire 2025 donne le coup d’envoi de la rentrée éditoriale de septembre. Quatre tables rondes réunissent des maisons pour une présentation de leurs titres phares et de leurs partis pris éditoriaux.

Animée par Jacques Braunstein, rédacteur en chef de Livres Hebdo, et Baptiste Liger, directeur de la rédaction de Lire Magazine, la 3e édition du Forum de la rentrée littéraire de Livres Hebdo s’est tenue le 15 mai à la librairie 7L, à Paris.

Ci-dessous les quatre vidéos publiées sur YouTube.  


Rentrée littéraire 2025 : continuité et renouveau


Un article Le Carnet et les Instants


Immuable temps fort de l’année éditoriale française, la « rentrée littéraire d’automne » suscite beaucoup d’attention en Belgique aussi.



De la part des libraires et des lecteurs, évidemment, puisque la littérature publiée en France reste, de loin, la plus vendue chez nous. Pour les auteurs et autrices belges publiés en France, cette rentrée est pleinement la leur, et ils se mêleront, comme tous les romanciers hexagonaux, à l’effervescence du moment et notamment à la course aux prix. Les maisons d’édition belges, quant à elles, adoptent vis-à-vis de cette période des attitudes diverses. Certaines en font un moment-phare de leur année. Elles optent alors pour un programme d’ampleur, et des dates de parution qui rejoignent celles des voisins français (fin août), ou sont au contraire plus tardives, pour éviter une concurrence déséquilibrée. D’autres maisons, sans être inactives au cours du deuxième semestre, placent plutôt le centre de gravité de leur année éditoriale à la Foire du livre de Bruxelles, et présentent donc un programme plus léger pour l’automne ...